La télévision de l’avenir
29 avril, 2008L’avenir de Facebook
24 avril, 2008Selon tous les experts de l’Internet, Facebook n’a même pas encore atteint sa période d’adolescence. Pourtant il a envahi nos vies et il attaqué avec succès les autres médias traditionnels et même ses semblables comme MySpace. Facebook me fait penser à la nouvelle vedette de l’heure, le jeune joueur de hockey Carey Price (20 ans), gardien de but de l’équipe de hockey Les Canadiens, lequel s’impose face à d’autres joueurs beaucoup plus expérimentés que lui. Son objectif est très clair: permettre à son équipe de gagner la Coupe Stanley.
Le golf au Québec
24 avril, 2008Jacques Fortin (68 ans), le fondateur de Québec Amérique, vient de publier ce qui peut être considéré comme le livre essentiel pour les golfeurs du Québec. L’ouvrage « Golf » est une présentation des 30 plus beaux terrains de golf de la province, lesquels ont été sélectionnés par un comité formé spécialement par Fortin. Cet album, qui compte plus de 500 photos, séduira tous les golfeurs et déjà certains ont commencé à planifier leur prochaine saison en tenant compte de ce livre. C’est le cas de Mademoiselle X qui se promet de visiter chacun des terrains mentionnés dans l’album…
LeStudio1.com décerne une mention d’excellence à l’auteur Jacques Fortin dans la galerie Les Meilleurs 2008.
Un maire et sa ville…
16 avril, 2008Le problème du maire de la ville de Montréal, Gérald Tremblay, est qu’il n’a pas beaucoup de charisme naturel et, pour cette raison, ses actions sont souvent rejetées ou diminuées sur la place publique par les journalistes.
Je connais un peu cet homme et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il est très travaillant, instruit (MBA de Harvard), bien intentionné, positif et surtout honnête. Il a aussi beaucoup de classe et il est toujours très respectueux et poli. Rien n’est impossible en cette époque de scandales, mais je ne crois pas que l’on dira un jour que Gérald Tremblay a agi pour son profit personnel autrement que pour l’avancement de ses idées politiques, dans lesquelles il croit sincèrement. Sur le plan du charisme, il me fait cependant penser à Stephen Harper, sauf que Tremblay est moins timide. Harper est le politicien le plus gêné parmi tous ceux que j’ai rencontrés jusqu’à maintenant. Heureusement qu’il a Laureen à ses côtés pour assouplir les rapports avec le public et améliorer son image…
J’avais conseillé à Gérald Tremblay, dans une chronique précédente, de surveiller son entourage car nos ennemis sont souvent nos plus proches alliés. Il semble avoir écouté mon conseil et il a cessé de faire confiance aveuglément. Je lui donnerai maintenant un autre conseil : «Être soi-même comme l’a fait Jean Charest et démontrer aux gens qu’il est un gestionnaire compétent et le meilleur disponible parmi les candidats en lice!»
La nouvelle popularité de Charest n’est pas une situation artificielle mais plutôt un reflet de la vraie personnalité du Premier ministre. Tous ceux qui le connaissent intimement disent qu’il est intelligent, gentil, attentionné et il a même parfois un sens de l’humour. C’est le personnage que j’avais connu en 1984 à Ottawa alors que Charest débutait en politique et que j’étais un jeune attaché de presse pour Brian Mulroney. Le maire Tremblay peut obtenir le même résultat que Jean Charest s’il prend exemple sur sa stratégie. Dans le cas de Charest, le défi semblait impossible à relever tellement la population le détestait, ce qui n’est aucunement le cas du maire de Montréal. Gérald Tremblay est un homme d’exception et il a réalisé des choses importantes et difficiles depuis son entrée à l’hôtel de ville mais cela ne ressort pas dans l’image projetée sur la place publique. Et quand on sait que l’image et la perception comptent plus que la réalité dans le jugement de la société et des électeurs, le maire de Montréal se doit de corriger la situation de façon urgente. La seule façon d’y arriver est d’être soi-même et de montrer la vraie image. Bonne chance! Vous en êtes capable!
Lien Ville de Montréal
Un grand photographe
10 avril, 2008Le photographe George Zimbel (78 ans) est l’un des privilégiés à avoir photographié Marilyn Monroe. Zimbel est encore très actif et en plus d’écrire une chronique internet (blog), il expose ses oeuvres partout dans le monde. Sa présente exposition se déroule à Barcelone en Espagne, du 9 avril au 31 mai, sous le thème de la photographie documentaire aux États-Unis et au Canada. George Zimbel est d’origine américaine mais il habite Montréal depuis 1971.
LeStudio1.com est fier de lui décerner une mention dans la Galerie d’excellence Les Meilleurs 2008. À voir aussi les photos prises par l’éditeur, Bernard Bujold, de George Zimbel en action.(Voir photos de George Zimbel)
Le courage de survivre!
8 avril, 2008(Sur la photo Claude Deraspe à gauche et Bruno-Pierre Bourque à droite aux Îles de la Madeleine)
Lien Îles de la Madeleine
Le Maestro Charles Dutoit se souvient de Montréal
1 avril, 2008J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour le Maestro Charles Dutoit.
Je l’ai rencontré à quelques reprises dont une avec la diva d’opéra Cecilia Bartoli. Une autre fois, j’étais parmi les invités à un souper de couple, duquel Charles est reparti plutôt déçu… Notre hôtesse, une vedette de la télévision québécoise, ne lui avait pas dit qu’elle avait un amoureux et que l’invitation à souper compterait 7 personnes incluant l’amoureux avec qui elle habitait. Il a quitté avant le dessert, bon prince, mais je doute qu’il ait jamais reparlé à cette animatrice télé. La dernière fois que j’ai rencontré Maestro Dutoit, c’était quelques jours avant que la querelle éclate et qu’il démissionne. Mes photos sont sur le site LeStudio1. Il avait l’air fatigué et il m’avoua qu’il rêvait parfois à prendre sa retraite pour aller vivre au Japon, pays qu’il apprécie particulièrement. Personne ne se serait attendu que quelques semaines plus tard (10 avril 2002), les musiciens montréalais feraient un tel affront à celui qui avait mis l’Orchestre sur la liste des meilleurs orchestres au monde. Le conflit de travail de 2002 a bien failli faire disparaître à tout jamais l’Orchestre symphonique de Montréal.
C’est une erreur de croire que les organisations de notre société sont éternelles et indépendantes de leurs créateurs et que l’ont peut les remplacer à souhait comme bon nous semble. Ce sont les hommes et les femmes qui dirigent nos institutions qui en font ce qu’elles sont et non l’inverse. Charles Dutoit était le créateur de l’Orchestre symphonique de Montréal commenous l’avons connu durant 25 ans entre 1977 et 2002!
Par un miracle quelconque, les responsables ont réussi à régler le conflit syndical et par un autre miracle, ils ont réussi à convaincre un chef de la trempe de Kent Nagano de prendre la relève.
Quelque temps après son départ de Montréal, j’ai fréquenté une femme qui habitait dans le même immeuble où Dutoit possède un condo. Nous ne nous sommes jamais croisé mais le gardien me disait que Dutoit revenait souvent faire des séjours discrets dans son appartement de la rue Sherbrooke. Il avait aimé Montréal! C’était sa ville préférée!
Charles Dutoit est un homme passionné. Il aime ou il déteste. Mais un homme passionné ne pardonne pas à ceux qui l’ont bafoué et à qui il a tout donné. Je m’ennuie de ce grand musicien car il a du style et une certaine dégaine qui en font un être d’exception. Je me suis toujours considéré privilégié à chaque fois que je l’ai rencontré et encore plus quand j’assistais à ses concerts. Lorsque Charles Dutoit est arrivé à Montréal en 1977, l’OSM participait à une campagne publicitaire pour la ville où on y voyait Dutoit avec l’Orchestre à l’arrière-plan. On pouvait y lire : « La fierté a une ville!»
Malheureusement, comme le dit la chanson :« Tout passe… »
Lien Orchestre symphonique de Montréal